naturo

vendredi 27 février 2015

Joseph Murphy - La Puissance de votre subconscient

LA LEÇON DE MERLIN

À ceux qui trouveraient que les difficultés sur leur chemin sont trop douloureuses et qui risqueraient de perdre le bien le plus précieux qu'est la joie de vivre, il est conté ceci :

« Il était une fois une vieille, très vieille femme, qui toute sa vie avait eu bien des peines. Cela avait été, pour elle, malheur sur malheur. Son caractère s'était aigri et, nuit après nuit, sur la fin de sa vie, elle ressassait tout cela.

Un jour où le druide du village enseignait aux villageois réunis autour du grand menhir et parlait, comme à l'accoutumée, de la bonté de la vie, elle n'y tint plus, se leva, lui coupa la parole, et cria devant l'assemblée médusée :

- Ce n'est pas vrai, la vie est méchante !
In terloqué, le druide bredouilla : 
- Ce n'est pas vrai, on ne peut pas dire cela !
- Si, si, si... Je le répète et je le répèterai partout : la vie est méchante !

- Oserais-tu redire cela devant Merlin ? demanda le druide qui ne savait quelle contenance prendre.
- Oui, oui, oui, je le redirai partout, la vie est méchante ! Je le redirai devant Merlin, devant le roi Arthur lui-même s'il le faut. La vie est méchante !

Le druide déconfit rendit compte à Merlin. Celui-ci convoqua la vieille au fond de la forêt où il avait coutume de se retirer. La pauvre vieille vint, accompagnée de tous les gens de son village, tous curieux, le druide en tête, de savoir ce qui allait se passer.
- Oserais-tu redire ici, tonna Merlin, oserais-tu redire ici ce que tu as affirmé au druide de ton village ?
- Oui, oui, oui, je le redirai partout, ici ou ailleurs, la vie est méchante ! Je le redirai devant le roi s'il le faut ! La vie est méchante ! La vie est méchante ! tonna la petite vieille toute courbée sous le poids de ses malheurs.
- Oserais-tu, lui demanda Merlin, oserais-tu le dire à la terre entière ?

- Oui, j'oserai ! À la terre entière ! La vie est méchante !

Alors Merlin lui demanda de le suivre jusque dans la montagne, sur un sommet escarpé d'où l'on pouvait voir d'autres montagnes et des plaines à perte de vue. Toute l'assemblée avait suivi avec intérêt, se demandant comment cette étrange aventure se terminerait.
Après plusieurs heures d'une rude montée, quand tout le monde se fut immobilisé face au plus grandiose paysage que l'on puisse imaginer, Merlin demanda : 
- Là, devant ces plaines et ces montagnes, devant la terre entière, oserais-tu répéter ce que tu as dit au pied du grand menhir ?
- Oui, oui, oui ! J'oserai, dit la vieille.

Dans un silence grandiose et surprenant, d'une voix vigoureuse pour son âge, rassemblant ce qui lui restait de force, elle hurla presque :
- La vie est méchante, la vie est méchante !

Et l'écho au loin répéta :

- La vie aime et chante, la vie aime et chante ! »

Patrick Dacquay, Le Chaman Blanc p.172

Le coaching quantique par Olivier Honsperger (Pt1)

dimanche 22 février 2015

La cle loi de l'attraction


Pour créer la vie que vous désirez, il vous faut vivre en harmonie avec la Loi de l'Attraction et le rythme naturel de l'Univers. Cela implique que vous sachiez reconnaître ce qui fait votre bonheur et que vous preniez le temps nécessaire pour y parvenir. Cela nécessite la pleine expression de vos dons et talents naturels, dans la joie et en toute sérénité. En agissant ainsi, vous apporterez votre contribution essentielle à l'Univers qui, en signe de gratitude, vous sourira et vous comblera. Cet ouvrage pratique vous apprendra à utiliser efficacement la Loi de l'Attraction, étape par étape, pour attirer à vous ce que vous désirez. En chemin, vous acquerrez une plus grande compréhension de vous-même : qui vous êtes vraiment et pourquoi vous êtes sur Terre.



samedi 21 février 2015

Le premier accord toltèque - Que votre parole soit impeccable

" Que ta parole soit impeccable " énonce le 1er accord toltèque. Vaste programme ! Etymologiquement, impeccable signifie " qui ne pèche pas ". 
Pour don Miguel Ruiz, on pèche lorsqu'on commet quelque chose contre soi-même. Une parole impeccable est donc une parole qui ne nous nuit pas. Ce qui signifie non seulement s'abstenir de se juger, de se critiquer, de répéter à son encontre les propos désobligeants d'autrui, de nettoyer son langage des termes et expressions négatifs (ex : " Ça me tue ", " J'en ai plein le dos ", ou même " C'est trop bien " [pourquoi trop ?], etc.), mais d'éviter aussi tout usage de la parole qui nuise à autrui : médisance, jugement, critique, calomnie, etc. Pourquoi ? Parce que tôt ou tard ces paroles - même dites en toute discrétion - atteignent leur cible puis nous reviennent, comme l'écrivait brillamment V. Hugo dans son célèbre poème " Le mot ".

La parole est une énergie : elle ne reste jamais sans effet. Le monde, comme l'énonce le prologue de l'évangile de St Jean, a été créé par le Verbe. Et l'homme aussi est créateur par sa parole, en bien comme en mal (ex : déclaration d'amour ou de guerre). C'est donc un choix qu'il appartient à chacun de faire un jour, de décider d'utiliser sa parole seulement pour le bien. Cela demande toutefois un effort soutenu, comme celui requis pour maîtriser le maniement d'une épée ou d'un sabre. " C'est l'accord le plus important et le plus difficile à honorer " affirme don Miguel, pour qui ce seul accord conclu avec soi-même permet de transcender sa vie actuelle et de connaître le paradis sur terre.
Incidemment, le grand guérisseur du début du 20e, Maître Philippe de Lyon, demandait pour seul paiement de ses guérisons miraculeuses que leurs bénéficiaires ne disent pas de mal d'autrui durant une heure, un jour, une semaine, selon les cas : c'est dire l'importance qu'il attachait à ne pas médire. La médisance, en effet, est un poison émotionnel et relationnel : elle salit, elle pollue, elle détruit. Tout comme nos ordinateurs sont désormais équipés de logiciels anti-virus, nous gagnerions à nous équiper intérieurement d'un " détecteur de médisance ", pour ne plus en être les complices et les propagateurs même inconscients, car les dégâts de cette parole mauvaise, dans le corps social, sont comparables à ceux des virus informatiques dans les réseaux. Jésus affirmait que ce n'est pas ce qui entre dans la bouche d'un homme qui le souille mais ce qui en sort. Refuser de propager des rumeurs ou de médire, c'est faire de l'écologie de la parole : ne pas polluer autrui ni soi-même avec les mots, mais au contraire contribuer par sa parole à créer un monde meilleur.
Conseil de Miguel Ruiz à ceux qui veulent conclure cet accord :il faut être patient avec soi-même. On n'acquiert pas une parole impeccable du jour au lendemain, d'autant que tout nous pousse dans l'autre sens. Rien ne sert donc de se juger si l'on rompt cet accord par mégarde : comme l'enfant qui apprend à marcher et tombe, il suffit de se relever et de recommencer. Avec l'expérience, on perçoit vite les améliorations qu'induisent dans notre vie une parole saine : on se sent tellement mieux vis-à-vis de soi-même et nos relations à autrui gagnent en clarté et en force. La motivation à maintenir cet accord, coûte que coûte, s'en trouve ainsi de plus en plus accrue.

Accord toltèque N°2 " Quoi qu'il arrive, n'en faites pas une affaire personnelle

" Quoi qu’il arrive, n’en faites pas une affaire personnelle ", énonce le deuxième accord. " Rien qu’en appliquant ce deuxième accord " dit don Miguel, " vous commencerez à briser des dizaines de petits accords qui vous font souffrir ". Ne plus prendre les choses personnellement, c’est en effet retirer à autrui le pouvoir qu’on lui a donné de nous juger, de nous critiquer, de nous nuire. C’est cesser d’attacher de l’importance à l’opinion d’autrui, ne plus dépenser d’énergie à défendre une image idéale de soi contre les critiques, ni à chercher à la nourrir de compliments. Dans la pratique, cependant, prendre tout ce qui nous arrive personnellement est plutôt la norme. La moindre remarque nous vexe, nous irrite ou nous attriste. Et je me suis rendu compte que tout en comprenant la pertinence de ce deuxième accord Toltèque, beaucoup ont de la peine à l’appliquer. En effet, il est difficile de mettre en pratique une injonction en " Ne… pas " : OK, je n’en fais pas une affaire personnelle, mais alors… j’en fais quoi ? Untel me traite d’idiot(e) ou d’incompétent(e), m’insulte ou m’humilie : comment réagir autrement que personnellement ?


Une première clé consiste à changer de centre de gravité dans la relation. Au lieu de m’occuper de moi, de ce qu’on dit de moi, de comment autrui se comporte envers moi, je m’intéresse à l’autre : qu’est-ce que son attitude et ses paroles me disent de lui et non de moi, que m’apprend-il sur lui en me parlant de moi ? " Une montée est une descente vue d’en bas " dit un adage plein de bon sens qui nous rappelle qu’une opinion n’a de pertinence qu’en fonction du point de vue d’où on l’émet. C’est ce que soulignait Courteline avec humour : " Se faire traiter d’idiot par un imbécile est une volupté de fin gourmet ". Celui qui me traite de minable ou de nul m’indique surtout depuis quelle orgueilleuse hauteur il me considère. Par analogie, le poids qu’affiche une balance n’a de valeur que si celle-ci a été étalonnée, mise à zéro : pourquoi donc accorder de l’importance à une opinion (=une mesure), si le point de vue dont elle émane ne me paraît pas juste, pas fiable ?



Enfant, rappelle don Miguel, c’est à travers le regard des parents et des adultes que nous nous sommes formés une image de nous-même, que nous avons appris (ou cru apprendre) qui nous étions : " tu es moche ", " tu es nul(le) ", " tu es lent(e) ", etc. Nous avons accepté ces jugements en croyant le point de vue des adultes fiable. Ces qualificatifs ont eu un impact sur nous parce que nous avons donné notre accord à ce qui nous était dit de nous. Adulte, devenu conscient des limites et de la relativité des points de vue de ceux qui nous ont étiquetés, il nous revient de briser les accords qui nous limitent et nous rendent dépendant de l’opinion d’autrui. De même, il nous revient de conclure l’accord de ne plus accepter, en les prenant personnellement, les opinions et jugements d’autrui qui ne reflètent le plus souvent que le point de vue faussé de ceux qui les émettent. Un accord important à briser pour ne plus prendre les choses personnellement, est donc celui qui consiste à croire (cela vient de notre enfance) que les autres nous connaissent mieux que nous. En réalité, personne n’est dans notre tête, dans notre cœur ou dans notre corps : nul ne sait mieux que moi ce qui se passe en moi, ce qui m’anime, pourquoi je me lève le matin, quelles sont mes intentions, mes idéaux, mes craintes, etc. Son propre étalon, ce n’est pas dans l’opinion fluctuante des autres qu’il faut le chercher, mais en soi, en l’établissant de préférence d’après les repères stables fournis par les grands principes spirituels d’amour, de vérité et de sagesse.



Une dernière clé et une mise en garde, pour conclure. La clé : lorsque vous réagissez personnellement à un jugement d’autrui, sachez que cela signifie que vous vous jugez vous-même de la même façon. C’est un phénomène de résonance. Votre réaction vous donne donc l’occasion de vous libérer d’un jugement envers vous-même, titillé par la critique d’autrui. Celui qui a totalement cessé de se juger lui-même n’est plus atteint par les jugements des autres. Et enfin la mise en garde : ne pas prendre les choses personnellement ne signifie pas ne pas les prendre du tout ! Tout renvoyer à son interlocuteur en lui disant : c’est ton point de vue, c’est ton problème, c’est ta vision des choses, etc., aboutit à s’enfermer dans une bulle où il n’y a plus d’échanges avec autrui. Le regard d’autrui sur nous n’est pas forcément juste ni 100% vrai, mais il n’est jamais inintéressant : il a toujours quelque chose à nous apprendre, que ce soit sur l’autre ou même sur soi (par les réactions qu’il déclenche en nous, notamment). C’est d’ailleurs lorsqu’on a cessé de prendre les choses personnellement qu’on est le mieux en mesure de tirer profit d’une opinion ou même d’un jugement, précisément parce qu’on n’y réagit plus : l’échange peut alors être ouvert, constructif, mutuellement enrichissant, même lorsqu’il est amorcé de façon agressive ou violente.On apprend dans les dojos d’arts martiaux à parer des attaques diverses. Les Quatre Accords toltèques nous fournissent des clés pour tirer le meilleur des attaques verbales ou comportementales. Il serait d’ailleurs envisageable de mettre sur pied des séances où, comme pour les arts martiaux, on pourrait pratiquer au ralenti, progressivement, dans un cadre sécurisé, l’art de défléchir des attaques verbales, de ne pas réagir personnellement, etc. Des amateurs ?...

dimanche 15 février 2015

LE PANIER DE CRABE -



Connaissez vous une chose à propos des crabes

Les crabes valent tout autant que les autres créatures, mais ils
font quelque chose qui n’est pas gentil !


Les gens qui vivent près de la mer le savent bien.

Voici ce qu’ils font :

Si vous mettez un crabe dans un seau, il peut s’en échapper.
Mais si vous mettez plusieurs crabes ensemble dans un seau,
aucun d’eux ne peut s’échapper, parce que dès que l’un d’entre
eux commence à sortir, les autres crabes le rattrapent, le
saisissent et le font retomber !

C’est pourquoi vous ne devriez jamais traîner avec des crabes
dans le même seau… ce qui nous amène à la chose la plus
importante à simplifier, si vous voulez transformer votre
vie : vos relations…

Certaines personnes sont comme ces crabes. Elles vous font
retomber. Et certaines personnes vous élèvent.

C’est pour cela que la simplification de vos relations est si
importante pour les transformations.

Essayez de passer plus de temps avec les personnes qui ont
du succès et qui s’intéressent à vous ; ces personnes-là vous
donneront de bons conseils. Ce sont elles qui vous élèvent.

Et ne traînez pas avec les crabes ; ceux qui veulent vous faire
retomber.

Après avoir appris des choses des gens qui réussissent, et
après avoir passé plus de temps avec eux, vous devenez
comme eux. C’est contagieux !

Et en restant loin des crabes, vous protégez votre réalité.

lundi 9 février 2015

Sur l'autoroute du succès - Napoléon Hill


Comment puis-je trouver le bonheur ? Comment puis-je
réussir ? Qu’est-ce que le succès ? Toute sa vie, Napoléon Hill s’est
penché sur ces questions. Il est très peu connu, en France, en-dehors de son
best-seller mondial « Réfléchissez et devenez riche ». Or, on ne peut
que gagner à fréquenter ses écrits, tous ses écrits car ils sont nombreux –il
faut dire que, depuis le jeune journaliste qu’il a été jusqu’à l’auteur réputé qu’il est devenu, il n’a
jamais cessé d’écrire.


 A 25 ans, il réalise,
pour le compte du magazine qui l’emploie alors, l’interview d’Andrew Carnegie, 74
ans,  fondateur de US Steel  et 
millionnaire. Né dans la pauvreté, autodidacte et au parcours hors du
commun, ce dernier se prend de sympathie pour le jeune homme d’origine modeste,
mais ambitieux et avide de connaissances qu’était Napoléon Hill à cette époque ;
 au cours de leur entretien, il lui
suggère de faire le tour des grands entrepreneurs, des hommes à la réussite
exceptionnelle pour les interroger et 
tenter de déterminer quels sont les principes du succès afin de mettre
au point une méthode qui permette à tout un chacun d’y accéder.


Ce jour-là, Hill avait trouvé ce qui allait l’occuper toute
sa vie durant, son but principal : faire en sorte que tous puissent apprendre
comment réaliser leurs rêves.


« Sur l’autoroute du succès » rassemble des
articles écrits par Napoléon Hill sur une période de vingt ans pour les deux
magazines qu’il a fondés afin de propager ses découvertes relatives aux lois du
succès, des découvertes dont se sont inspirés depuis tous ceux qui ont écrit ou
parlé à propos de développement personnel. Il s’agit là d’un recueil de
précieux conseils, d’encouragements et d’anecdotes personnelles délivrés avec
une rare générosité et un enthousiasme contagieux, particulièrement bienvenu en
cette période de vicissitudes et propre à redynamiser les plus découragés

                                                                                                          
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L'AMOUR et la PEUR

Contrairement à ce que l'on croit, Il n'existe que deux émotions :
L’Amour ,et la Peur :

S'il y a de la peur, c'est qu'il n'y a pas d'amour.
Quelque chose vous tracasse? cherchez la peur...
Chaque fois qu'une émotion négative se présente à nous, il se cache derrière une peur.
La peur est l'énergie qui contracte, referme, attire, court, cache, entasse et blesse.
L'amour est l'énergie qui s'étend, s'ouvre, envoie, reste, révèle, partage et guérit.
La peur s'accroche et se cramponne à tout ce que nous avons.

L'amour donne tout ce que nous avons.
Chaque pensée, parole ou action est fondée sur l'une ou l'autre émotion.
Tu n'a aucun choix à cet égard, car il n'y a pas d'autre choix, mais tu es libre de choisir entre les deux.
Ainsi au moment où tu promets ton plus grand amour, tu accueilles ta plus grande peur.
Car aussitôt après avoir dit "je t'aime", tu t'inquiètes de ce que cet amour ne te soit retourné.
Et s'il l'est, tu te mets aussitôt à t'inquiéter de perdre l'amour que tu viens de trouver.

Cependant, si tu sais Qui Tu Est, tu n'auras jamais peur.
Car, qui pourrait rejeter une telle magnificence?
Mais si tu ne sais pas Qui Tu Es, alors tu te crois bien inférieur.
Fais l'expérience glorieuse de Qui Tu Es vraiment ,et de qui tu peux Être.

S. S Dalaï Lama

vendredi 6 février 2015

GENGIS KHAN ET SON FAUCON - UNE LEÇON PUISSANTE

Un matin, Gengis Khan, le légendaire guerrier de l'empire
mongol, et sa cour partirent à la chasse.

Tandis que ses compagnons emportaient arcs et flèches, Gengis
Khan portait sur le bras son faucon favori.


Cependant, malgré tout leur enthousiasme, ils ne trouvèrent
rien. Déçu, Gengis Khan regagna son campement, et décida
de cheminer seul.

Ils étaient restés dans la fôret plus longtemps que prévu
et Khan mourait de fatigue et de soif. A cause de la chaleur
de l'été, les ruisseaux étaient à sec, il ne trouvait rien à
boire, et puis miracle !

Il vit devant lui un filet d'eau qui descendait d'un rocher.
Immédiatement, il détacha le faucon de son bras, prit la
petite coupe en argent qu'il portait toujours avec lui,
mit un long moment à la remplir, et, alors qu'il était sur
le point de la porter à ses lèvres, le faucon prit son vol
et lui arracha la coupe des mains, la jetant au loin.

Gengis Khan était furieux, mais c'était son animal favori,
peut-être avait-il soif lui aussi.

Il saisit la coupe, nettoya la poussière et la remplit de
nouveau. Le verre à demi plein, le faucon l'attaqua de
nouveau, renversant le liquide.

Gengis Khan adorait son animal, mais il savait qu'il ne
pouvait tolérer en aucune circonstance qu'on lui manquât
de respect.

Cette fois, il tira son épée de sa ceinture, s'empara
de la coupe, recommença à la remplir.

Dès qu'il vit qu'il y avait assez d'eau, il se prépara à
boire, alors le faucon prit de nouveau son vol et se
dirigea vers lui.

Khan, du coup précis, lui transperça le coeur. Mais le
filet d'eau avait séché. Décidé à boire d'une
manière ou d'une autre, il grimpa sur le rocher pour
trouver la source.

A sa surprise, il y avait vraiment une nappe d'eau et,
au milieu, mort, l'un des serpents les plus venimeux
de la région.

S'il avait bu l'eau, il aurait quitté le monde des
vivants. Khan revint au campement avec le faucon mort
dans les bras.

Il fit fabriquer une reproduction en or de l'oiseau,
et il grava sur l'aile :

"Même quand un ami fait quelque chose qui ne te plaît
pas, il reste ton ami."

Sur l'autre aile, il fit écrire :
"Toute action motivée par la fureur est une action vouée
à l'échec."

jeudi 5 février 2015

Il ne faut pas avoir peur - Auteur inconnu


J'avais peur d'être seul, jusqu'à ce que...
J'ai appris à m'aimer moi-même.

J'avais peur de l'échec, jusqu'à ce que...
Je me suis rendu compte que j'échouais si je n'osais pas.

J'avais peur que l'on me repousse, jusqu'à ce que...
J'ai compris que je devais croire en moi-même.

J'avais peur de la douleur, jusqu'à ce que...
J'ai appris qu'elle était nécessaire pour grandir.

J'avais peur de la vérité, jusqu'à ce que...
J'ai découvert la laideur des mensonges.

J'avais peur de la mort, jusqu'à ce que...
J'ai appris qu'elle n'était pas une fin mais un commencement.

J'avais peur de la haine, jusqu'à ce que...
Je me suis rendu compte quelle n'était pas autre chose que de l'ignorance.
J'avais peur du ridicule, jusqu'à ce que...
J'ai appris de rire de moi-même.

J'avais peur de vieillir, jusqu'à ce que...
J'ai compris que je gagnais en sagesse, jour après jour.

J'avais peur de ce que les gens pensaient de moi, jusqu'à ce que...
Je me suis rendu compte que de toute façon elles auraient une opinion de moi.

J'avais peur du passé, jusqu'à ce que...
J'ai compris qu'il ne pouvait plus me blesser.

J'avais peur de l'obscurité, jusqu'à ce que...
J'ai vu la beauté de la lumière d'une étoile.

J'avais peur du changement, jusqu'à ce que...
J'ai vu que même le plus beau papillon devait passer par une métamorphose.

Que nos vies soient chaque jour plus riches, et si nous nous sentons défaillir...
N'oublions pas qu'à la fin, il y a toujours quelque chose de plus.

mercredi 4 février 2015

LA MAÎTRISE DE LA PERSUASION

« Ce qu’il y a de fabuleux avec Napoléon Hill c’est que ses écrits sont atemporels, d’ailleurs les neurosciences confirment à 100 % ce qu’il y a dans ce livre. »
         David Lefrançois - Fondateur de l’Institut des Neurosciences Appliquées


Napoléon Hill décompose ici une philosophie intemporelle de persuasion en clés concrètes pour que le « maître vendeur» en vous puisse atteindre le maximum de son potentiel.

L’auteur du best-seller Réfléchissez et devenez riche fut le premier à découvrir les dénominateurs communs des personnes hors du commun. Tous ceux qui réussissent le plus dans leur vie partagent certaines qualités.

L’une d’entre elles est de maîtriser une composante essentielle de la réussite : la faculté à conclure une vente ou persuader l’achat d’un service.

Quelle que soit votre domaine, lorsque vous faîtes face aux moments clé de votre vie, vous devez d’une manière ou d’une autre savoir vous vendre. 
 La plupart de gens pensent qu’il faut être doué d’une intelligence hors pair pour réussir. 
Pourtant, de nombreuses personnes très talentueuses ne connaissent pas pour autant le succès, car il leur manque un ingrédient fondamental, le « savoir vendre ». 

Vous allez apprendre :
- les techniques de persuasion des grands de ce monde
- comment développer votre initiative et doper vos affaires
- les coups de maîtres pour obtenir le poste que vous désirez
- comment gérer et budgéter votre temps
- les attitudes gagnantes qui fournissent les meilleurs résultats




Arrêter de vous attendre à ...

« Quelque soit ce que le moment présent contient, acceptez-le comme si vous l’aviez choisi. »
Eckart Tolle

Aujourd’hui je vais suggérer un petit changement dans votre état d’esprit qui peut changer votre vie.

Je ne vais pas garder le suspens. Le voici : ne pensez pas à tout ce qui se produit comme étant bon ou mauvais. Arrêtez de juger, arrêter de vous attendre à ....

C’est un petit changement – tout ce que vous avez besoin de faire est dire “Ce n’était pas bon ou mauvais, cela s’est juste produit, c’est juste cela”. C’est minuscule, mais cela demande de l’entrainement, et incroyablement, cela peut vous botter les fesses.

Pourquoi ? Parce qu’avec ce petit changement, vous ne serez plus balloté de bas en haut en fonction des bonnes choses ou des mauvaises choses qui se produisent, en fonction du fait que les personnes (et leurs actions) soient bonnes ou mauvaises. Vous apprendrez à accepter les choses comme elles le sont, et à vous déplacer dans ce paysage en pleine conscience.

Vous ne vous attendrez plus à ce que de bonnes choses se produisent (ou de mauvaises choses), mais vous prendrez juste les choses comment elles viennent, et serez satisfait avec tout ce qui se produira. Cela veut dire que vous ne serez plus désappointé, ou malheureux.

Quand certains voient certaines choses comme belles,
d’autres les voient comme laides.
Quand certains voient certaines choses comme bonnes,
d’autres les voient comme mauvaises.
Lao Tzu

Un petit exercice

Pensez à quelque chose de bon qui s’est produit pour vous récemment, et comment cela a affecté votre état d’esprit. Maintenant pensez à quelque chose de mauvai s qui s’est produit, et ce que cela a fait à votre état d’esprit.

Maintenant imaginez qu’aucun de ces évènements n’étaient bons, et aucun mauvais. Ils se sont simplement produits, ils ont existés.

Comment cela change comment vous vous seriez senti comme résultat de ces évènements ? Comment cela change votre bonheur, votre humeur ? Comment cela change ce que vous faites en réaction ?

Quand vous arrêtez de juger les choses comme bonnes ou mauvaises, vous n’êtes plus chargé du fardeau des émotions de votre jugement, et pouvez vivre plus léger, plus libre.

Rien n’est bon ou mauvais

Hamlet a dit « Il n’y a rien de bon ou de mauvais, mais penser le transforme en l’un ou l’autre ».

Il avait raison. Sans l’esprit humain, les choses se produisent juste, et elles ne sont pas bonnes ou mauvaises. C’est seulement quand nous utilisons nos filtres ou notre jugement qu’elles deviennent bonnes ou mauvaises, belles ou lai des.

Une mauvaise herbe est une mauvaise herbe seulement quand nous ne l’aimons pas. Les enfants sont seulement vilains si nous n’aimons pas leurs actions. La vie est terrible uniquement si vous la jugez aussi mauvaise.

Mais qu’en est-il de ces tragédies vraiment horribles, comme une épidémie ou un tsunami ou l’Holocauste ? Bien sûr, ces choses sont mauvaises ? Bien sûr, à travers la lentille du jugement dans lequel nous avons été éduqués, elles sont terribles. Mais encore une fois, enlevez le jugement et alors… elles se sont simplement produites. La mort et la cruauté nous rendront probablement toujours tristes, mais elles se sont toujours produites et le feront toujours, que nous les aimions ou non.

L’auteur et survivant de l’Holocauste Victor Frankl a écrit à propos d’une femme riche qui a survécu à l’Holocauste, et qui était reconnaissante pour l’expérience, bien qu’elle ait beaucoup souffert, parce que cela lui a ouvert les yeux. Cela l’a transformé e. Je ne dis pas que l’Holocauste était bon mais peut-être que nous pouvons dire qu’il s’est produit. Cela sert de leçon – une que nous devrions écouter, par ailleurs, en ces jours de haine politiquement chargée, où nous accusons les immigrants et les minorités d’être la source de nos problèmes.

Il y a d’autres tragédies qui se produisent qui ne sont pas nécessairement mauvaises. Elles occasionnent des pertes dévastatrices, sans aucun doute, mais dans la vie il y aura toujours des pertes, et les gens mourront toujours. C’est la manière dont nous les jugeons qui détermine nos réactions, et détermine si nous sommes capables de les gérer en restant sain d’esprit.

De grandes attentes

La seconde moitié de ce changement est aussi petit, mais tout aussi important : laisser tomber les attentes. Non pas les baisser, mais les éliminer.

Pensez à cela : quand nous avons des attentes, et que les choses ne vont pas dans le sens que nous attendions (ce qu i arrive assez souvent, car nous ne sommes pas de bons pronostiqueurs), nous sommes désappointés, frustrés. Ce sont nos attentes qui nous forcent à juger si quelque chose est bon ou mauvais.

Quand vous attendez quelque chose d’un ami, d’un collègue, d’un membre de votre famille, de votre conjoint, et qu’ils ne sont pas capables de le donner, alors cela vous énerve, ou vous êtes désappointés. Cela engendre la colère. Mais que se passe-t-il si vous n’avez pas d’attentes – alors leurs actions ne seraient ni bonnes ni mauvaises, ce seraient juste des actions. Vous pouvez les accepter sans frustration, colère, tristesse.

Que se passe-t-il si vous partez en vacances, à un endroit pour lequel vous avez de grandes attentes, et que ce n’est pas ce à quoi vous vous attendiez ? Vous serez amèrement déçu, alors même que ce n’est pas la faute de l’endroit – c’est juste ainsi que l’endroit est. C’est vos attentes qui sont en cause.

Quand les gens vous déçoivent, ce n’ est pas leur faute. Ils sont juste ce qu’ils sont. C’est vos attentes qui sont en cause.

Le pourquoi

Mais pourquoi faire ce changement ? Pourquoi devrions-nous arrêter de juger ? Pourquoi devrions-nous arrêter d’avoir des attentes ?

Parce que les jugements nous bloquent de notre compréhension, et peuvent ruiner notre bonheur. Quand nous jugeons, nous ne cherchons pas à comprendre – nous sommes déjà arrivés à la conclusion. Si nous arrêtons de juger, nous nous autorisons à essayer de comprendre, et alors nous pouvons agir de manière beaucoup plus intelligente, parce que nous sommes mieux informés par notre compréhension.

Juger nous rend malheureux. Tout comme nos attentes.

Quand nous laissons les jugements derrière nous, nous pouvons vivre dans le moment présent, prenant ce qui vient comme n’étant ni bon ni mauvais, mais simplement pour ce que c’est. Nous pouvons arrêter de ruiner notre bonheur avec nos pensées, et commencer à vivre à la place.

Le comment

Donc comment commençons-nous à faire cela ? Par de petits pas, comme d’habitude.

1. Tout d’abord, commencez en étant plus conscient. Tout au long de la journée d’aujourd’hui, notez quand vous commencez à faire des jugements, notez quand vous avez des attentes, et quand les choses ne produisent pas en fonction de celles-ci. Avec le temps, vous en remarquerez de plus en plus, et serez plus conscient de ces types de pensées.

2. Ensuite, faites une pause à chaque fois que vous notez un jugement ou une attente. Respirez. Ensuite dites-vous, “Aucune attente, rien de bon ou mauvais”. Répétez cela, laissez partir votre jugement ou vos attentes.

3. Troisièmement, essayez de voir les choses comme elles le sont, et de comprendre. Soyez curieux de savoir pourquoi les choses sont de la manière dont elles sont, pourquoi les gens agissent de la manière dont ils agissent. Enquêtez, pratiquez l’empathie, essayez de vous mettre d ans la peau des autres personnes. Voyez le paysage de votre vie comme il est, sans le filtre des jugements ou des attentes.

4. Ensuite, prenez ce qui vient. Vivez-le, dans le moment. Réagissez de manière appropriée, sans sur-réagir parce que cela ne s’est pas produit comme vous l’espériez ou le vouliez. Vous ne pouvez pas contrôler la vie, ou les autres, mais vous pouvez contrôler comment vous réagissez.

5. Ensuite acceptez. Quand les choses se produisent, comprenez pourquoi elles le font, sans jugement, et acceptez-les comme elles sont. Acceptez les personnes pour ce qu’elles sont. Acceptez-vous vous-même, sans jugement, tel que vous êtes. Cela demande de la pratique.

6. Enfin, sachez que le moment présent, étant tel qu’il est, contient aussi des possibilités infinies. Et ces possibilités sont ouvertes une fois que vous voyez les choses comme elles sont, sans jugement ou attentes.
The Elements of Living Lightly, Léo Babauta
Traduction : Olivier Rolan

mardi 3 février 2015

LA CHANCE C'EST QUOI

VISION PERTINENTE DE LA CHANCE
interview de Philippe Gabillet

1er secret de la chance : L'intention, savoir ce qu'on veut
2 être disponible et ouvert pour ne pas laisser passer sa chance
3 savoir transformer ses échecs
4 la connexion avec les autres,  





Si je peux me permettre de parler de ma propre expérience.
Lorsque à 23 ans j'ai décidé de crée ma boite de transport
j'ai agit pour faire ma place 
et j'ai persévéré coûte que coûte, malgré toutes les difficultés

Ce que certain appelle de la chance, est simplement, la réalisation de la vision que l'on a.

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