naturo

jeudi 18 juin 2015

LE POÈME D'AUDREY HEPBURN

Voici un très joli poème,
écrit par Audrey Hepburn, et qui fut lu à
ses funérailles.

« Pour avoir des lèvres attirantes,
prononcez des paroles de bonté.

Pour avoir de beaux yeux,
regardez ce que les gens ont de beau en eux.

Pour rester mince,
partagez vos repas avec ceux qui ont faim.

Pour avoir de beaux cheveux,
laissez un enfant y passer sa main chaque jour.

Pour avoir un beau maintien,
marchez en sachant que vous n’êtes
jamais seule, car ceux qui vous aiment et
vous ont aimé vous accompagnent.

Les gens, plus encore que les objets,
ont besoin d’être réparés, bichonnés,
ravivés, réclamés et sauvés :
ne rejetez jamais personne.

Pensez-y : si un jour vous avez besoin
d’une main secourable, vous en trouverez une au
bout de chacun de vos bras.

En vieillissant, vous vous rendrez compte que
vous avez deux mains, l’une pour vous aider
vous-même, l’autre pour aider ceux qui en ont besoin.

La beauté d’une femme n’est pas dans les
vêtements qu’elle porte, son visage ou sa façon
d’arranger ses cheveux.

La beauté d’une femme se voit dans ses yeux,
car c’est la porte ouverte sur son coeur,
la source de son amour.

La beauté d’une femme n’est pas dans
son maquillage, mais dans la vraie beauté de son
âme.

C’est la tendresse qu’elle donne, l’amour,
la passion qu’elle exprime.

La beauté d’une femme se développe avec les années. »

- Audrey Hepburn


et ça vaut également pour les hommes !

Rencontre avec Enzo Ventura et Jack Sword

samedi 6 juin 2015

NOUS sommes le POUVOIR - Discours du Chef Seattle en 1854



Discours de John Trudell prononcé le 18 Juillet 1980 au Centre de Survivances Interculturelles Amérindien.
15 mn d’un discours puissant et éminemment moderne.
Pas de révolution, mais la LIBÉRATION !

Traduction et voix : Cyril Cossu
http://www.youtube.com/user/AlternAct...

John Trudell est un activiste politique, poète, écrivain et acteur amérindien, né le 15 février 1946 à Omaha, dans le Nebraska (États-Unis). D'origine Sioux Santi (ou Dakota), il a milité tôt au sein de différents mouvements de défense des droits des indiens natifs (en 1969, il participe à l'Occupation d'Alcatraz). Il a été président de l'AIM (American Indian Movement) de 1973 à 1979.

Après avoir perdu sa femme et ses enfants dans l'incendie de leur maison (incendie que John Trudell considère comme criminel et attribue toujours publiquement au FBI), l'activiste continue son combat sous une autre forme en devenant poète et musicien de blues à partir des années 1980.

Depuis, il sillonne les scènes du monde entier pour diffuser sa musique et ses convictions politiques, philosophiques et spirituelles, et faire connaître le combat des peuples Amérindiens.

Contrairement à d'autres activistes amérindiens, John Trudell prône plus la non-coopération que la révolution. Extrait de sa conférence du 26 janvier 2012 à Paris : "Car après tout qu'est ce que la révolution ? C'est revenir au point de départ. Et lorsqu'une révolution est politiquement réussie, elle remplace l'oppresseur avec tous les drames humains que cela engendre. Quels que soient le systèmes politiques, ils sont basés sur l'exploitation de la Terre et des êtres humains. Si aujourd'hui on veut se battre contre cette oppression (de la marchandisation des âmes et des consciences), il faut peut-être essayer de ne pas répéter les mêmes erreurs [...] Que faut-il faire ? La réponse n'est pas la non-violence - ça ne marche pas - mais plutôt la non-coopération. Imaginez que 30% ou 40% de la population décide de ne plus consommer, nous serions bien plus pris au sérieux, nous serions influents. Nous avons le pouvoir d'être acteurs sur le consumérisme." / Et nous sommes tous responsables...

Dieu existe-t-il? Einstein