naturo

mercredi 7 décembre 2016

LA RÉUSSITE par David Lefrançois

David LEFRANCOIS, Formateur principal, auteur de plusieurs livres sur le coaching (Guide Pratique du life coaching aux éditions Gualino et La bible du coaching éditions Maxima-2009). Coach stratégique, expert en Neurosciences, conférencier, Intervenant sur plusieurs émissions de TV. Créateur de l’Intelligence Motivationnelle® et intervenant en prospective auprès de grands comptes. Ceinture Noire 4ème Dan de Karaté, il a connu le coaching dans le cadre de la compétition sportive et a choisi d’en faire son métier. Il a accompagné plusieurs sportifs et équipes sportives de haut-niveau (championnat du monde et olympique). Directeur de la publication du e-magazine gratuit spécialisé dans le développement personnel et professionnel, le magazine « POTENTIEL » (www.potentiel-magazine.com) qui est en passe de devenir l’un des meilleurs magazines dans le domaine

OU/ET



L'homme de bien n'exige pas de l'autre qu'il soit parfait, il l'aide à accomplir ce qu'il a en lui de meilleur".
Lao TSEU

mercredi 30 novembre 2016

"Osez changer"

“Oser changer” : un court-métrage puissant qui donne envie d’aller de l’avant !
Franchir les hésitations, renoncements,ou ces pas à reculons... 
qui nous empêche de nous sentir vivant !


samedi 11 juin 2016

Sept étapes pour se défaire de l'emprise de l'ego

Il y a trois principaux obstacles à votre prise de contact avec l'intention : vos pensées, votre énergie et l'idée de votre importance. Nous allons examiner ici une de ces trois catégories d'obstacles qui vous empêchent d'entrer en contact avec le pouvoir de l'intention :

L'idée de votre propre importance
Dans The Fire from Within, Carlos Castaneda rapporte les paroles d'un maître sorcier : « L'homme n'a pas de plus grand ennemi que l'idée de sa propre importance. Le fait d'être offensé par les actions et les méfaits de ses semblables l'affaiblit. En état suffisant, nous nous condamnons à être continuellement offensé par quelqu'un ou quelque chose. »
À la base, l'idée de votre propre importance contribue à vous donner le sentiment que vous êtes spécial. Nous aborderons donc sans plus tarder ce concept d'unicité. Il est essentiel que vous ayez une bonne image de vous-même et l'impression que vous êtes unique. Toutefois, cela pose problème lorsque vous vous trompez sur ce que vous êtes vraiment en vous identifiant à votre corps, à vos succès et à votre profession.
Cette erreur d'identification est à la source de la plupart de vos problèmes, comme elle est à la source de la plupart des problèmes de l'humanité. Le fait d'avoir le sentiment d'être spécial nous rend suffisant.
En vous concentrant sur votre moi, vous entretenez l'illusion que vous êtes votre corps, une entité complètement séparée des autres. Ce sentiment d'être coupé des autres favorise davantage la compétition que la coopération. En bout de ligne cette idée ne peut s'accorder avec l'Esprit, et devient rapidement un énorme obstacle à votre prise de contact avec le pouv oir de l'intention. Pour renoncer à l'idée de votre propre importance, vous devez d'abord prendre conscience de son imprégnation dans votre vie. L'ego n'est qu'une idée représentant ce que vous pensez être.

Sept étapes pour vous défaire de l'emprise de votre ego

1) Cessez d'être constamment offensé.
Vous pouvez apprendre à apprécier la vie en vous accordant à l'Esprit universel de la Création.
« La paix vient de Dieu et celui qui vit en Dieu ne saurait vivre autrement que dans la paix. » (A Course in Miracles)
En étant offensé, vous créez la même énergie destructrice qui vous a offensé en premier lieu, et cette énergie ne peut que mener à de nouvelles attaques, à des contre-attaques et finalement à la guerre.

2) Cessez de toujours vouloir gagner.
L'ego adore nous diviser en gagnants et en perdants. La poursuite de la victoire est une manière infaillible d'éviter tout contact conscient avec l'intention.
Vo us n'êtes pas vos succès et vos victoires.
Il n'y a pas de perdant dans un monde où nous partageons tous la même énergie.
Débarrassez-vous de ce besoin de victoire en refusant d'admettre que perdre est le contraire de gagner.
Soyez observateur, notez ce qui se passe, et profitez du moment sans ressentir le besoin de remporter un trophée. Demeurez serein, et branchez-vous sur l'énergie de l'intention. Et par une ironie du sort, même si vous risquez de ne pas le remarquer, les victoires s'accumuleront d'autant plus que vous ne les rechercherez plus.

3) Cessez de toujours vouloir avoir raison.
En vous libérant du besoin d'avoir toujours raison lorsque vous discutez avec des amis ou votre conjoint, vous dites à votre ego :
« Je ne suis plus ton esclave. Je veux me montrer bon, et je rejette ce besoin d'avoir toujours raison. En fait, je vais donner à cette personne la chance de se sentir mieux en reconnaissant qu'elle a raison et en la remerc iant de m'avoir montré où se trouve la vérité. »
En vous débarrassant de votre besoin d'avoir raison, vous renforcez votre lien avec le pouvoir de l'intention.
J'ai vu des gens mettre fin à des relations pourtant harmonieuses en s'accrochant à leur besoin d'avoir raison.
La prochaine fois que vous vous disputerez avec quelqu'un, arrêtez-vous et demandez-vous : « Est-ce que je veux avoir raison ou est-ce que je veux être heureux ? »

4) Libérez-vous de votre besoin de supériorité.
Nous sommes tous égaux aux yeux de Dieu.
Libérez-vous de votre besoin de vous sentir supérieur en prenant conscience de la présence de Dieu en chacun.
« L'idée d'unicité nous amène à faire constamment des comparaisons. Elle se fonde sur les manques observés chez les autres, et se maintient en les recherchant et en mettant en évidence tous les manques que nous pouvons percevoir. » (A Course in Miracles)

5) Libérez-vous de votre besoin d'en avoir toujours plus.
Ironiquement, c'est souvent quand vous arrêtez d'en vouloir toujours plus que vous obtenez ce que vous désirez. Et n'étant plus esclave de ce besoin, il vous sera beaucoup plus facile d'en faire profiter les autres, car vous aurez alors pris conscience que vous n'avez pas besoin de grand-chose pour être satisfait et en paix avec vous-même.
La Source universelle est satisfaite d'elle-même et ne cherche jamais à s'accaparer ses créations pour son propre profit personnel.
En appréciant tout ce qui se présente, vous assimilez cette extraordinaire leçon enseignée par saint François d'Assise : « Donner, c'est recevoir. »
Laissez entrer l'abondance dans votre vie pour vous accorder à votre Source et vous assurer que cette énergie continuera à circuler en vous.

6) Cessez de vous identifier à vos accomplissements.
Dieu est l'auteur de toutes les musiques, de toutes les chansons, de tous les immeubles.
Dieu est la source de tous vo s accomplissements.
Tout émane de la Source !
Et cette Source et vous ne faites qu'un !
Vous n'êtes ni ce corps, ni la somme de ses réussites.
Vous êtes l'observateur. Soyez attentif et montrez-vous reconnaissant pour les dons qui vous ont été accordés, pour la motivation qui vous permet de réussir ce que vous entreprenez et pour tout ce que vous avez accumulé au fil des ans. Mais prenez conscience que tout le mérite revient au pouvoir de l'intention, ce pouvoir qui vous a donné la vie et dont vous êtes la matérialisation.

7. Libérez-vous de votre réputation.
Votre réputation ne réside pas en vous. Elle réside dans l'esprit des gens qui vous entourent.
Se connecter à l'intention signifie écouter votre coeur et vous comporter sur la foi de ce que votre voix intérieure vous révèle quant à la raison de votre présence ici-bas. Si la façon dont les autres vous perçoivent vous inquiète plus que de raison, vous vous coupez de l'intention et acceptez d'être guidé par ces opinions.
Faites ce que votre voix intérieure vous dit de faire, car cette voix est toujours en contact avec votre Source et lui est toujours reconnaissante. Gardez le cap, ne vous préoccupez pas des résultats et prenez la responsabilité de ce qui réside en vous : votre caractère.

Ceci conclut notre examen de ce troisième obstacle à notre prise de contact avec l'intention. Les deux autres obstacles sont vos pensées et votre énergie. Nous les examinerons en temps voulu peut-être quand vous les aurez oubliés ou quand vous n'y penserez plus !
Le Pouvoir de l'intention, Dr Wayne W. Dyer

jeudi 7 janvier 2016

SOMMES NOUS LA MATRICE ....

Je suis, j'était , je serais 
Je pense, je pensais, je penserais



Je suis aujourd'hui ce que j'ai était hier, et je serais demain ce je suis aujourd'hui.

Pour changer son passé, il suffit de se créer un nouveau futur  .. 
la seule solution est de décider maintenant.

La prise de conscience est; qu'aujourd'hui est le futur d'hier et qu'aujourd'hui est le passé d'hier et que nous vivons maintenant une décision que nous avons prise ou pas  hier  !!

Nous sommes capable de pensez au futur de notre passé !!! 
Rappelez vous de ce que vous prévoyiez de faire  le 30/12 pour le réveillon du 31 ....
Donc, nous sommes aussi capable de penser au passé de notre futur est de le créer.

Imaginons que ce véhicule est notre cerveau qui est capable, lui, de ce déplacer dans le temps, 
Il ne sait pas si ce à quoi nous pensons MAINTENANT, est un souvenir ou le fruit de notre imagination ( pour exemple, certain rêve semble plus réel que certains souvenir).

Tout comme le chiffre 8, L'espace-temps et la vie  repasse toujours par son centre, qui est le point d'inflexion de tout mouvement.

Ce centre EST le maintenant qui est le point de départ ou tout ce que vous voulais obtenir se trouve, Ni dans le passé, ni dans le futur, car le passé et le futur ce trouve ici et maintenant.













samedi 2 janvier 2016

Lettre d'amour au monde entier (Marina BRUNO)


Cher Ancien Monde,


Je t'écris cette lettre de révolte et d'amour
car une discussion frontale me semble bien stérile
face notamment à tes résistances 
et à ton incompréhension.
J'ai longtemps hésité avant de t'écrire
Car j'ai longtemps pensé qu'il te fallait faire tes propres expériences
évoluer à ton rythme sans chercher à t'imposer un quelconque changement...

Mais au vu des évènements récents
Je me suis dit qu'une lettre à cœur ouvert ne serait pas de trop
J'ai également hésité car mon but n'est pas de te culpabiliser
ni de me sentir supérieure

Je t'écris aujourd'hui en conscience avec une totale empathie
Car j'ai été un jour ce que tu représentes aujourd'hui
Et quels que soient les mots
plus ou moins francs que j'emploierai
N'oublie jamais combien je t'aime...

Tu n'oses pas argumenter face à ta colère
Car la virulence et l'agressivité dont tu fais preuve
ne peuvent en aucun cas être le terrain d'une bonne entente
et encore moins d'une compréhension mutuelle.

Je parlerais au nom de toutes celles et ceux
qui ont un jour ouvert leurs yeux sur le monde
et leur cœur à la vie.
Ceux qui se sont mis en marche pour
Chacun à leur échelle
Reconstruire jour après jour
ce qui s'écroulait entre leurs mains.

Sache avant tout que
Même si tu sembles voir notre évolution d'un mauvais œil
Même si le changement de pensée
d'habitude, d'attitude, d'apparence physique te fait peur
C'est au contraire pour nous un signe de fierté
Que d'être les témoins physiques de notre conscience
qui évolue pas à pas.
Nous sommes fiers de ne plus être ce que nous étions auparavant
D'avoir ouvert notre esprit et notre coeur
Et de ne plus accorder la première place à notre ego.

Si tu regardes bien, tu verras que dans le fond
Nous sommes toujours les mêmes.
Mais nous réajustons la forme jour après jour.

Aujourd'hui, nous regardons notre vie
Ce même monde dont nous faisons partie
Non pas sous un angle différent
Mais sous de plus en plus d'angles
En acceptant de ne pas s'arrêter
sur une seule vision des choses
En acceptant d'avoir foi
en des faits qui hier encore
nous paraissaient impossibles.

Nous ouvrons la porte
Et souvent aux trésors.

Voir les choses sous plusieurs angles
nous donne une compréhension plus large du monde,
de son fonctionnement
Mais aussi de la justice et de la vérité.

Aujourd'hui, nous ne voulons plus nous décharger
de nos responsabilités en tant qu'humain
que ce soit en matière de santé
en étant dépendant de la parole du médecin,
du nutritionniste, du thérapeute, quel qu'il soit.

Nous estimons que n'avons pas besoin de faire 10 ans d'étude
pour vivre sain
dans la félicité et dans la joie
Alors nous nous informons
Nous prenons la peine de réétudier les bases de la vie
Celles qui pendant longtemps étaient comme réservées
à une élite de gens instruits
Alors que ces instructions devraient être les bases des droits de l'homme.
Savoir.
Il n'y a qu'à partir du moment où l'on sait
que l'on peut exercer un libre-arbitre conscient
Sinon nous n'avons que l'illusion d'un choix
préformé par la société dans laquelle nous vivons.
Une fois que nous sommes informés
Nous agissons en toute conscience de la réalité
et nous faisons au mieux.

Nous refusons les conventions délétères, une quelconque norme,
Un soi-disant modèle de réussite
Ou les obligations sociales basées sur la superficialité
D'autant plus si celles-ci vont à l'encontre de nos besoins.

Nous refusons tant que nous le pouvons 
de dépendre de la société industrialisée
et d'encourager les agriculteurs
à empoisonner la terre.

Nous ne voulons pas que les forêts disparaissent
qu'une partie de la population meurt de fin
Pendant qu'une autre se gave
en torturant au passage
des êtres sur lesquels nous sommes censés veiller...

Nous ne voulons pas que nos enfants grandissent 
avec des masques pour respirer
qu'ils ne sachent s'exprimer qu'avec violence
frustration ou désespoir.

Avant c'est vrai,
Nous voyions les choses comme une fatalité
mais ce n'est plus le cas désormais.

Car nous savons que nous sommes droits dans nos bottes
les yeux ouverts, assumant la réalité sous tous ses angles,
acceptant notre responsabilité.

Nous savons dans notre cœur
que chaque sphère de lumière
avec laquelle nous reconstruirons nos vies 
aura un rôle crucial et solide dans son entiereté.
et dans celle des autres
et contribuer chaque jour à transmuter l'ombre en lumière
c'est une joie sans nom.

Mais dis-moi, cher ancien monde,
nous n'avons pu nous empêcher
de remarquer que
tu n'avais pas l'air en paix avec toi-même.
Tu n'as pas l'air heureux.

Nous ne sommes certes pas les plus hauts exemples
Mais à notre échelle, avec nos outils,
nous faisons en sorte de régénérer la terre
et tout ce qui porte vie.
Nous sommes honorés lorsque nous la respectons
émus, lorsque nous l'admirons
et heurtés, lorsque nous l'outrageons.

Nous ne sommes ni dans une religion, ni dans un dogme.
Nous suivons en toute conscience le fil de notre évolution
tel un chemin lumineux qui n'attend plus que d'être foulé.

Alors je conçois que tes espoirs et tes idéaux ne soient pas les nôtres
Mais en as-tu seulement ?

As-tu encore des rêves ?
Ou la réalité que tu t'imposes et imposes aux autres
Est-elle ton seul fil conducteur ?

Quelle était la dernière fois que tu as eu une prise de conscience,
Vécu un total état d'amour,
Ou eu un simple moment de bonheur ?

Tu sais, malgré les apparences, je ne te juge pas.
Lorsque tu es dans la violence, que tu bois, fumes,
te drogues ou te repaît de ???

Alors pourquoi est-ce si difficile pour toi
d'accepter mon bonheur ?

Crois-tu que c'est parce que je n'agis plus comme toi
que je ne t'aime plus ?

Avant et tu en es le témoin,
j'agissais et pensais comme toi.
Nous étions sur la même longueur d'onde.
Je pensais que les signes extérieurs de richesse, de beauté,
ou de réussite sociale me définissaient en tant que personne.
Je pensais que c'était à moi de modeler ma vie comme une pâte sans me soucier des conséquences
Que la volonté et le mental étaient mon seul leitmotiv.
Quand on veut, on peut !
Qu'avoir un bel appartement 
et de devenir patron ou chef d'une entreprise
était le summum du bonheur.
Je pensais que les docteurs avaient toujours raison, 
Que les enfants n'avaient pas leur mot à dire,
Que les animaux étaient élevés pour être mangés,
Que les aliments que achetions au supermarché étaient étudiés
Sans danger pour nos organes et sans incidence sur la terre et ses habitants.
Mais je me fourvoyais, c'est un fait.

La vérité,
C'est que le monde dans lequel nous vivons tous aujourd'hui est en colère.

Un déséquilibre, un fossé se creuse
et nous nous enfonçons dedans en acceptant 
De voir les évènements comme une fatalité.
Nous entrons dans le cercle vicieux, nous le renforçons.
Et aujourd'hui, c'est autour de notre ignorance
Que tourne ce monde,
Affaibli, malade et injuste.

La vérité, c'est que nous sommes les moutons d'un système
qui pense à notre place, que nous sacrifions des espèces
Toutes aussi pacifiques les unes que les autres.
Alors que nous n'en n'avons pas besoin pour nous substanter.
Au nom de quoi ?
De la culture, de nos traditions, du goût,
Du plaisir éphémère ou de la mode.
Nous sacrifions nos frères à l'autre bout du monde
pour du confort, de l'esthétique et une illusion de réussite financière.

Nous acceptons de voir des millions d'hommes, de femmes et d'enfants
mourir de faim que nous pourrions les nourrir
avec les tonnes de céréales dont nous nous servons
pour engrosser nos vaches.

Nous acceptons de piller la terre et d'empoisonner les sols
Parce que nous nous déchargeons de cette responsabilité.

La vérité, c'est qu'il y a aujourd'hui suffisamment de déchets sur terre
pour former un sixième continent
et que nombreuses sont les espèces qui en font les frais.

Nous acceptons que nos femmes, nos filles et nos sœurs ne soient représentées dans les médias que comme objets de désir ou de soumission
Et que celles-ci se conforment à cette norme
Pour rentrer dans le moule.
Que des milliers de femmes et d'enfants
Consentants ou non,
Soient contraints de faire commerce de leur corps
Aux quatre coins de la planète
Pour vivre ou survivre.

La vérité, c'est que les industries qui génèrent le plus d'argent
n'ont aucun intérêt à ce que nous soyons en bonne santé.
Il est aujourd'hui considéré comme normal d'être malade.
Même dans les couches,
De vieillir dans la souffrance
Et au passage, d'abandonner nos parents
Plutôt que de les accompagner.
Et c'est bien cela la réalité.

Nous acceptons que millions d'êtres soient torturés et sacrifiés
pour des tests, des expériences
Afin de vendre des médicaments ou 
Ce qu'on ose appeler de la nourriture.
Du maquillage ou des soins cosmétiques.
C'est la presque totalité de ce que nous consommons à foison 
dans les supermarchés.
Des toxiques
bourrés de pesticides, d'additifs meurtriers tels que l'aspartame,
le fluor, le glutamate,
Et d'aliments non conformes à notre physiologie
Qu'on nous les vend, les plébiscite
en toute connaissance de cause, sans état d'âme,
au nom de la croissance économique.
Que l'air que nous respirons et l'eau que nous buvons
nous empoisonnent à petit feu.
La vérité, c'est que dans 100 ans,
Nos forêts pourraient disparaître
Au nom de nos meubles, de nos maisons.

L'équivalent d'un terrain de football
est ravagé en une seconde dans la forêt amazonienne.

La vérité, c'est que tes ressources seront bientôt épuisés
et que ton règne touche à sa fin
Car ta confortable réalité n'est pas viable sur du long terme.
Ton monde est éphémère.

Je n'invente rien. Les faits sont là.
L'information est présente aujourd'hui,
Tout le temps et partout.
Je ne te mens pas.
Il ne s'agit pas d'aller sauver le monde
Mais de se transformer soi-même 
Dans les choix que nous faisons, notre consommation,
notre vision des choses.
Dis-moi, est-ce qu'en blâmant mes choix, 
tu ne serais pas en train de te protéger ?
Car, en te rendant compte de tout cela, il te serait difficile de faire machine arrière.

Tu as peur du changement ?
Cela, je le conçois.
Crois-moi, plus que tout,
Mais Crois-tu qu'il soit préférable d'enterrer la tête sous terre comme une autruche
de passer son temps à regarder son cul ?

Cher ancien monde, comme je viens peut-être de le faire,
tes mots m'ont souvent heurtés.
Ils semblaient véhiculer bien de la méchanceté et de la malveillance
Quand ils n'exprimaient pas de la haine pure
Jusqu'à ce que je comprenne que tu étais comme un enfant
Dans l'ignorance, dans l'immaturité
Et que mon rôle comme une mère était de t'aider à ouvrir ton cœur 
Et à y voir plus clair.
Qui sait, ce n'est surement pas la dernière fois
Que je m'insurge devant ton ignorance
Et ce que j'estime être de la bêtise.
Pardonne-moi pour cela, si ton cœur s'en sent capable.
Car je suis moi-même un être en évolution.

Et tu sais, je suis loin d'être parfaite.
Parfois, je te juge, je te manque de respect,
Je perds patience,
Je suis dans la lutte ou le pouvoir.

Cher ancien monde, je t'aime autant que je t'exècre
Mais j'ai conscience du principal,
C'est que
Ce n'est plus ce que je veux.
Je souhaite du plus profond de mon âme que mon cœur me guide jour après jour
Afin de devenir un être de plus en plus juste.
Malgré les apparences, je veux que tu saches
Que je ne vois pas l'ombre de ce monde comme une fatalité.
En effet, voilà notre regard sur la vie.
Nous avons foi en la vie, en la terre, en l'homme,
En leur pouvoir de rédemption et de régénération
Nous avons foi en la paix, la douceur, en la tendresse,
Aux mots doux.
Nous avons foi en nous-mêmes, en nos héritiers,
En nos amis,
Nos familles, nos amoureux.
Nous avons foi en l'amour au sens large, vrai.
Nous croyons aux actes d'amour, de respect
profond de l'autre de son chemin et de sa conscience,
en une communication pacifique
Et nous croyons au pardon et à la compassion.

Nous sommes vibrants et nous sommes vivants.
Nous aimons la Vie,
Donc pour nous, il est naturel de la respecter,
De surfer sur sa vague sans chercher
À la contrôler à notre convenance.

De toute notre chair, nous voulons enfanter
Des êtres dont nous savons sans rien attendre d'eux
Qu'ils seront des petits héros et de futurs guerriers.
Nous voulons les porter sans leur imposer d'échographie.
Nous voulons les porter au sens entier du terme.
Nous voulons les mettre au monde
Chez nous, sans cathéter, sans péridurale,
Sans lumière artificielle et sans grand public autre que leur famille
Nous voulons les mettre au monde au sens entier du terme.
Nous voulons un foyer autosuffisant autant que possible.
Nous voulons des fruits et des légumes qui poussent à même notre jardin.

Nous ne voulons plus abandonner nos parents aux hospices
Et nos enfants à leur chambre, à une nounou, à l'école.
Nous voulons les écouter, leur enseigner la vie au sens large
Et plus que tout.
Nous voulons être présent pour nos enfants, notre famille, nos amis.
Papa ne veut plus travailler pour entretenir un système qu'il sait délétère.
Papa préfère cultiver sa terre et prendre petit bout sur ses épaules
Pour lui enseigner ce dont nous parlions tout à l'heure,
Les bases et les lois de ce monde, du vivant et du vrai.

Nous voulons la santé pour nous et autour de nous,
Des sourires, de la joie,
De la justesse et de la justice.
Et nous efforçons toujours en restant dans le cœur
D'être les guerriers de celles-ci.

Je n'ai pas beaucoup réfléchi avant de tourner mes mots.
Je suis juste le témoin de ce que je ressens à l'instant T.
Peut-être ai-je été injuste, maladroite, indélicate.
Peu m'importe, car j'estime que je ne peux manifester de l'amour
Qu'en étant moi, qu'en étant honnête.

Ce pas que j'ai fait vers toi n'a nullement été dans le but de te convaincre
Mais j'ai l'espoir d'avoir un tant soit peu touché ton cœur.
Non pas pour que tu changes, mais pour que tu acceptes
Et que tu accueilles le fait que moi, j'ai changé.
Et si tu fais à ton tour ce pas, je pressens qu'un jour,
Nous serons unis, réunis et qu'enfin tu retrouveras
La paix.

Ne sous-estimez pas votre pouvoir personnel !
"Tu peux faire des prodiges !"

Rappel :
Ce texte est également disponible en fichier à télécharger ou en bande sonore mp3 ici :
La bande sonore comporte au début une plage de silence d'une minute et quinze secondes.

Namasté